Con-soumission
DJ Bobo est, selon moi, le sommet de la daube commerciale. Pour une fois que je lui trouve un contre-emploi, je ne vais pas m'en priver...
CHIE - HUA - HUA !
DJ Bobo est, selon moi, le sommet de la daube commerciale. Pour une fois que je lui trouve un contre-emploi, je ne vais pas m'en priver...
Le 36.000e reportage consacré au sujet. A chaque fois, je grimpe les tours.
Il est si habile, de coeur et de doigté. Si doué dans l'esthétique, créative et émotionnelle. Si beau, à l'intérieur comme à l'extérieur. Dans tous les domaines. L'homme que j'aime.
Pot-au-feu, ce soir. Patates, carottes, chou blanc, tomate, céleri, céleri en branches, oignon… Flûte, j’ai oublié d’acheter un navet! Pas grave: j’ai le DVD de «Saw» sous la main.
Malgré le «redoux», l’hiver est à nos portes. Peut-être est-ce pour cela qu’aujourd’hui j’ai eu envie de m’acheter une nouvelle plante d’appartement. Au supermarché du coin, j’ai jeté mon dévolu sur une Anthurium (cf. photo ci-dessus). Pour ses feuilles d’un vert très sombre et ses fleurs d’un rouge très vif.
Un peu d’humour dans ce monde de brutes… ☺
Je suppose que c’est dans l’air du temps. N’empêche que ça m’a fait tout bizarre, aujourd’hui, quand j’ai lu la nouvelle.
Partons du principe qu’un blog est un outil privé, où l’on peut afficher (à peu près) tout ce qu’on veut – «c’est mon avis, je le partage, et il n’engage que moi». Là où ça se corse, c’est lorsque ledit blog est tenu par un colonel de l’armée suisse.
Qui souhaite voir un film a tout intérêt à éviter le petit écran. Entre «Cold case», «NCIS», «Les Experts», «Heroe », «Weeds», j’en passe et sûrement des pires, plus de place pour un long-métrage. Ou alors à pas d’heure. Ok, il y a le cinéma, les DVD, les chaînes câblées… mais moi j’aimais bien cette bonne vieille TV en libre accès qui proposait des films plusieurs fois par semaine.
Quand j’étais gamine, un comique français cartonnait à la TV. Décédé dans un accident de la route en 1973, il est resté dans les classiques. Aujourd’hui encore, il repasse assez régulièrement dans les scènes-culte du petit écran. Son humour était totalement avant-gardiste à l’époque, forcément dépassé maintenant, et je ne suis pas sûre que les générations actuelles savent de qui je veux parler. J’ai nommé: l’incontournable Fernand Raynaud.
S’il y a bien une chose qui donne une très bonne idée de ce que peut être l’infini, c’est l’extension permanente de la connerie humaine.
Deux commentaires écrits ci-dessous par Mél, une amie, m’ont fait profondément réfléchir.
Puisque j’ai commencé à parler d’héritage…
A la chanson interprétée par Jean Gabin, dont je m'inspire pour l'intitulé de mon billet précédent.
On a beau savoir qu’on ne sait jamais tout, particulièrement quand on prend de l’âge – il y a toujours un moment où on se rend compte qu’on s’est laissé piéger, qu’on croyait savoir alors qu’on ne savait rien.
En allant faire mes courses cet après-midi, j’ai croisé une affiche de la section vaudoise de la protection des animaux. En avant-première des Fêtes de fin d’années, intitulée: «Foie gras: le méchant petit goût de cruauté ordinaire.»
Dernièrement, quelqu’un m’a demandé pourquoi j’avais une telle haine de la religion catholique. Haine? Le mot m’a chatouillée. Voilà bien un sentiment que je n’aime pas, et j’aime encore moins savoir que j’en suis capable. Pourtant j’ai bien dû me rendre à l’évidence: la religion catholique m’inspire de la haine et lorsqu’il m’arrive de disserter sur le sujet, j’ai tendance à rapidement laisser mon esprit rationnel, analytique, critique au placard.
J'ai choisi deux photos en rapport avec mon installation à Lausanne. Mais j'aurais pu en sélectionner X autres, pour leurs qualités et leur beauté. Nul doute que j'y reviendrai...
Dès le début, j’ai pensé qu’un blog était un moyen magique de faire partager son univers. «Magique» pas dans un sens paranormal ou surnaturel. «Magique» dans le sens où les enfants l’entendent. Dans le sens où certains adultes, qui ne se sont pas coupés de leur âme d’enfant, l’entendent. Comme moi, irréductible enfant bien qu’adulte, je l’entends.
Dieu merci, il existe encore des journalistes qui savent monter aux barricades pour de justes causes. Non non, je ne parle pas du Darfour. Ni des inondations dans l’Etat mexicain du Tabasco. Ni de celles au Vietnam. Ni de toutes ces tragédies qui ne sont même pas médiatisées. Soyons clairs: c’est du détail, peanuts, on s’en fout.
Quand certaines personnes se demandent. Juste un clip que l'on espère, pour se dépasser. Juste parce que l'on aime l'espoir...
Le prénom dit que... Je l'y retrouve... A lui de répondre, s'il s'y reconnaît ou non... :-)
Envie d’aller marcher, aujourd’hui. Ayant congé toute la semaine, j’avais ce désir de prendre l’air, quand au boulot je passe l’essentiel de mon temps devant un écran d’ordinateur, dans des bureaux confinés, sans la moindre terrasse et où de toute façon l’environnement extérieur se résume aux bâtiments bétonnés d’une zone industrielle. Mon homme, qui travaille en indépendant, a eu la gentillesse d’aménager ses horaires afin que nous puissions partager cette journée.
Un lien tiré d'un site ami. Du comment du prénom de chacun, et comment cela peut influencer l'existence de ses détentaires. J'ai ricané, ha ha, un truc du genre le tirage horoscopique des cartes où tous peuvent se reconnaître, à condition d'être suffisamment naïf.
Lu ou vu ou entendu je ne sais plus où:
Quand un groupe parle le même langage. Et un homme, exposé au pilori. Que certains exigent sa mort. Je comprends, même s'il m'en coûte de l'avouer, cette envie de vengeance. Je comprends mais je n'y souscris pas. Cantat a payé son acte en conscience, une conscience qui va le poursuivre toute sa vie durant. Et de toute façon je ne soutiens pas, ne soutiendrai jamais, la peine de mort.
Libellés : ueue
Je marche avec mon temps. Je me suis promis que si je devais devenir une femme du troisième âge – une vieillarde, quoi – je ne me retrouverais jamais dans la situation où j’ai dû parfois accompagner des personnes âgées. Du genre devant un automate à billets des CFF, paniquée à ne pas comprendre comment cela fonctionne. Non, comme déjà dit, que je me braque à l’idée de vieillir. Bien au contraire, j’ai envie de ressembler à certains vieux que l’on rencontre ici et là, qui respirent la plénitude de leur vécu. D’autant plus précieux qu’ils sont hélas rares.
Tous les soirs sauf le week-end, une femme de ménage vient avec son mari, son fils et parfois sa fille nettoyer le bordel (le mot est pesé) laissé derrière eux par les journalistes du média où je travaille. Je m’entends bien avec cette Italienne et lorsque je suis présente je prends toujours plaisir à tailler une bavette avec elle. Question de racines, de culture partagée, qui favorisent la communication. Pour le bonheur aussi de parler cette «bellissima lingua» que je n’ai que trop rarement l’occasion de pratiquer – encore que nous nous exprimions dans un sabir franco-italien typique des expatriés. Et puis aussi parce que, indépendamment du reste, j’apprécie cette femme.