Soyons désinvoltes
N'ayons l'air de rien.
Tostaky - un live parmi mille autres:
Il y a des nouvelles, comme ça, qui ont le don de vous booster une journée (quand on est coincé au taf pour tout le week-end prolongé et que l’on préférerait aller batifoler dans la nature estivale).
On peut détester le foot. Se démarquer pour diverses raisons du grand raout qui s’approche. A chacun ses préférences, mon billet n’ira pas dans ce sens-là.
Je ne vais pas revenir sur l’horreur des faits: tout le monde a eu l’occasion d’en apprendre jusqu’à plus soif ces derniers jours.
Marre de la daube qui monopolise les antennes radio et TV? Envie de bonne musique? Alors ouvrez tout grand les oreilles. Et tout grand les yeux: l’album sera prochainement dans les bacs.
Depuis quelques semaines s’affiche en Suisse romande (et peut-être dans l’ensemble de la Suisse…) une publicité en deux parties. Le procédé est classique. On mène une première campagne pour un produit qui demeure caché, histoire d’éveiller la curiosité. Ensuite, un peu plus tard, on révèle le produit.
Jean-Jacques Tillman, Boris Aquadro, Bertrand Dubout, Bernard Jonzier. Entre les deux premiers qui ne sont plus d’actualité et les deux suivants qui poursuivent logiquement jusqu’à l’âge de leur retraite, est-ce que je fais preuve de nostalgie déplacée?
Lorsque je suis en vacances, comme c’était le cas ces derniers jours, j’ai pour habitude de décrocher totalement des médias. Un blackout complet en forme de bol d’air. De toute manière, l’info, c’est un peu comme «Top Models»: même si on rate dix épisodes, on a vite fait de raccrocher les wagons…
I dont want to spend the rest of my life
Avez-vous déjà eu l’occasion de tester les troquets qui offrent la possibilité de jouer aux courses et à la loterie en direct? Généralement j’évite, tant ces bistrots sont glauques. Puis voilà, aujourd’hui, lors de mes courses en centre-ville et par un détour inattendu, je m’y suis retrouvée.